Terreurs nocturnes, cauchemars : comment aider votre enfant

22 novembre 2012

Les nuits de votre enfant sont régulièrement agitées ? Impressionnantes, les terreurs nocturnes surviennent davantage en première partie de nuit contrairement aux cauchemars qui se manifestent plutôt dans la seconde moitié. Quel comportement adopter ? Devez-vous vous rendre auprès de lui de façon systématique ? Réponses.

Votre enfant hurle ? Vous le découvrez assis dans son lit, transpirant, confus, l’air terrorisé et… toujours endormi ? Il vient vraisemblablement de faire une terreur nocturne. Inutile de le réveiller. Il se calmera naturellement et le lendemain matin, il n’aura aucun souvenir de cet épisode nocturne. Contrairement à vous, qui aurez éprouvé les pires difficultés à retrouver le sommeil…

A la différence de la terreur nocturne, le cauchemar va réveiller l’enfant. S’il vous réclame, rassurez-le. Prenez-lui la main, parlez-lui doucement. Et s’il le souhaite, laissez-le vous raconter son « mauvais rêve ». Ensuite, il devrait rapidement retrouver les bras de Morphée.

A ne pas faire…

En revanche, il serait très maladroit de vous moquer de son cauchemar et pire, de le gronder. Cela ne ferait qu’ancrer cette peur en lui. Et ne lui proposez pas de venir dans votre lit. Inconsciemment, il pourrait ensuite user de ce stratagème pour y revenir.

  • Source : J’élève mon enfant, Laurence Pernoud, Horay Editeur – Dormir, c’est vivre aussi, INPES.

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